Il n’y a pas plus grand bonheur que de voir son enfant voler de ses propres ailes ! Ce voyage vers l’indépendance financière n’est cependant pas dénué d’embûches. Des études aux premiers pas dans le monde professionnel, chaque étape nécessite un soutien solide de la famille. Minerval, logement, matériel scolaire… les besoins de l’étudiant sont nombreux et, bien souvent, fort coûteux. Comment accompagner cette transition sans compromettre votre budget ? Ensemble, explorons les solutions qui s’offrent à vous pour soutenir votre enfant à chaque moment clé de son parcours vers l’autonomie.

Les études supérieures, un atout majeur pour l’avenir

Les études supérieures sont perçues comme le passeport vers une carrière épanouissante et un avenir solide. Pourtant, ce tremplin vers l’indépendance a un coût, et celui-ci ne peut être ignoré.

Un véritable défi financier

En Belgique, le financement des études supérieures représente un véritable défi. Les frais de minerval, qui varient de 200 à 800 euros selon l’établissement, viennent s’ajouter aux supports de cours estimés à 300 euros. À cela s’ajoutent le logement étudiant et le matériel informatique, entraînant des dépenses qui s’accumulent rapidement. Au total, une année scolaire peut coûter entre 5.000 et 10.000 euros, une somme conséquente pour de nombreuses familles.

Les limites du job étudiant

Même avec un job étudiant, il est souvent difficile de couvrir l’intégralité de ces frais. Les heures de travail supplémentaires ne suffisent pas toujours à compenser les dépenses engagées. Cette situation peut créer un stress supplémentaire pour les étudiants, qui doivent jongler entre leurs études et leurs obligations professionnelles.

Recourir à un prêt études peut s’avérer être une solution pour les parents afin de couvrir le coût des études supérieures. Il s’agit d’un crédit à la consommation dont le montant est versé en une fois et remboursable par mensualités. Cette option pragmatique offre la possibilité de mener à bien ses projets académiques sans que le poids des frais ne pèse trop lourdement sur les épaules. Ainsi, chaque étudiant peut envisager l’avenir avec confiance et sérénité.

Les premiers pas dans la vie active, suivre le mouvement

Démarrer dans la vie active, c’est un peu comme entrer dans une danse effrénée où il faut savoir suivre le rythme. La mobilité devient rapidement un enjeu crucial. Pour beaucoup de jeunes, acquérir une première voiture s’avère indispensable pour les études supérieures mais également pour accéder aux opportunités professionnelles. 

Un poste de dépense majeur

Cependant, cette quête de mobilité s’accompagne de dépenses considérables. Alors que le logement pèse déjà lourd dans le budget, les coûts liés à la mobilité ne font qu’alourdir la facture. Les voitures électriques, bien que séduisantes par leur empreinte écologique, affichent des prix souvent hors de portée. Le marché de la seconde main peine également à offrir des alternatives accessibles. Dans ce contexte, les jeunes actifs se tournent vers des solutions plus variées : transports en commun, vélos électriques, abonnements de voitures partagées, etc. Chacune de ces options présente ses propres frais, transformant la gestion du budget transport en un casse-tête financier.

Un coup  de pouce parental

Face à ce tableau complexe, le soutien parental apparaît comme une bouée de sauvetage. Financer une première voiture ou contribuer aux frais de mobilité peut faire toute la différence. Ce coup de pouce, loin d’être un simple geste, permet à votre enfant de se lancer dans sa carrière sans le poids écrasant des préoccupations financières. En allégeant cette charge, les parents leur offrent la liberté de se concentrer sur l’essentiel : leur épanouissement professionnel.

Devenir propriétaire quand on est jeune, de moins en moins accessible

Se lancer dans la vie, s’engager dans une relation, envisager de fonder une famille… l’achat d’un premier logement devrait être une belle étape, pleine de promesses. Pourtant, cette ambition s’éloigne de plus en plus pour les jeunes, piégés dans un marché immobilier qui frôle l’indécence. Posséder un chez-soi, autrefois synonyme de réussite, devient un défi quasi insurmontable.

Des chiffres alarmants…

Aujourd’hui, devenir propriétaire est un parcours du combattant, surtout pour ceux qui manquent de fonds propres. Une tendance inquiétante émerge : on observe que beaucoup ne franchissent le pas qu’après 35 ans, attendant patiemment d’accumuler les économies nécessaires. En Belgique, la part des jeunes acheteurs de 30 ans ou moins a chuté, passant de 29,3 % en 2022 à 27,3 % en 2023. Un vrai coup de semonce pour une génération qui rêve d’indépendance.

… mais tout à fait remédiables

Alors, comment les parents peuvent-ils aider leurs enfants à surmonter cet obstacle ? En apportant un coup de pouce financier, bien sûr ! En contribuant aux fonds propres, ils peuvent couvrir les frais inévitables comme les droits d’enregistrement ou les frais de notaire. Et pour ceux qui veulent faire un pas supplémentaire, Elantis propose le prêt Family+, une manière astucieuse d’apporter ce soutien sans toucher aux économies. Une belle façon de donner un coup de main à la nouvelle génération et de leur offrir la chance de se construire un foyer, enfin !

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